dimanche 5 octobre 2008

2.4

Je vais continuer la publication à tous les deux jours pour au moins encore les deux prochaines parties du chapitre 2. Je suis ouvert aux suggestions sur le formation et la rédaction. Je ne me relis pas, donc c'est toujours possible qu'il y ait des fautes d'inattention.

L'escapade en camping d'automne s'est terminée le lendemain. J'ai laissé Vanessa chez elle après deux bisous sur le joues, les mains moites juste à penser à la gêne que m'a causé l'évènement surnaturel arrivé pendant la nuit. On se promet de se revoir bientôt, mais je reste sceptique à ce sujet. On m'a mis en arrêt de travail et, dans son cas à elle, les quarts vont continuer à s'enchaîner l'un à l'autre.


Je me suis par la suite dirigé on ne peut plus directement à mon appartement, en réalisant à quel point il peut être difficile de conduire avec un doigt dans une espèce d'atèle en métal qui le garde en position.


Je viens juste de terminer de vider le coffre arrière de mon bolide. C'est fou tout ce qui peut rentrer dans une auto simplement pour une nuit de camping. Je regarde, stupéfait, la pile qui cumule la tente, les deux sacs de couchage, les matelas, la glacière, un vieux Reader Digest, les casseroles, la boîte remplie de nourriture impérissable, l'huile à mouche (en plein automne ?), les deux rouleaux de petite corde, la lampe frontale...


J'ai toujours eu peur de manquer d'équipement en pleine sortie en plein air. À chaque fois, au retour, j'éprouve une certaine lassitude à ranger tout le matériel à la place qui lui est normalement désignée dans l'appartement.


J'ouvre mon ordinateur portable pour voir si quelqu'un a essayé de me rejoindre pendant mon absence. Une fois l'écran LCD illuminée, j'aperçois une note de rappel qui s'affiche automatiquement.



1 commentaire:

Sally Fée a dit…

Le don de nous faire languir :O)