mercredi 1 octobre 2008

2.2

Reader Digest, Juillet 1999, p. 23


Les religions à travers les dernières décennies ont rejeté, dans un élan presque majoritaire et surtout dédaigneux, la théorie de Charles Darwin qui édicte les préceptes de la sélection naturelle. Les êtres des différentes espèces, face aux problématiques naturelles qu'ils affrontaient années après années, éliminaient d'elles-mêmes les faibles des leurs pour se retrouver avec les candidats les plus propices à surmonter l'obstacle de l'heure.


L'homme ne fait pas exception à la règle et, bien que nos bienveillantes religions nous feront peut-être fort probablement état du contraire, nous prenons sur nous d'endosser la théorie scientifique de Darwin. Le nouveau millénaire a amené son lot de difficultés et l'être humain n'a pour ainsi dire pas de choix de s'adapter s'il désire survivre.


Cette adaptation passe par le transferts des gènes forts d'un homme vers une progéniture qui, à son tour, pourra procéder au transfert.


S'il est vrai que l'homme est un animal, régit par les hormones, l'émotivité tant positive que négative, nous pensons qu'il est possible pour lui de poser des actions qui lui permettront de progresser ou de régresser.


L'homme de Néant-Dertal, bien qu'il tente de façon consciente d'aller constamment vers l'avant, peut également poser des actions qui le feront régresser.


Aucun commentaire: