samedi 12 avril 2008

Hockey, bière et ailes de poulet

Je parle souvent du cro-magnon comme étant celui qui, au volant de sa Civic 95 et arborant sa casquette, joue au hockey et bâtie sa personnalité au tour des trois éléments précités.

Mais il faut comprendre que je n'ai rien contre ceux qui aiment, jouent, écoutent, regardent et assistent aux matchs de hockey. Parce qu'il faut pas se le cacher, le hockey, au Québec, ça rassemble un tant soit peu.

On est rendu (ou on est resté?), comme société occidentale, à un moment où le moment qui rassemble le plus de monde au tour d'une table, dans un salon, dans un bars, ce moment est celui d'un certain match de hockey, qu'il soit en séries éliminatoires ou non.

Je ne parle pas en connaissances de cause, je n'aime pas le hockey.

Je suis capable d'admettre que tel ou tel joueur fait des bons coups, mais ne me demandez pas quel est le numéro du plus vieux frère Kotcysin..Kotsishin... Kot quelque chose. C'est que je ne vois pas l'intérêt de connaître le nom des joueurs, leur numéro, leur fichier statistiques.

Mais c'est vrai que, pour un gars dans la vingtaine, c'est trippant en maudit de manger des ailes de poulet, de boire une bière, en parlant et en écoutant le match.

Qu'on aime, et surtout qu'on aime pas, le hockey fait parti de notre patrimoine historique. Il ne faut pas le renier.

Alors, position néant-dertalienne ? Écouter le hockey, mais avec des amis, autour de nourriture grasse... pour le plaisir !

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